Mépris du camp d’en face
En plein milieu d’une énième aventure pédestre, sur les traces des rescapés du goulag, l’écrivain Sylvain Tesson revient sur une anecdote entre lui le Français et des autochtones sibériens. Tesson leur est redevable de l’hospitalité et, parfois, d’une aide logistique qui peut sauver la vie (transport, nourriture, abri pour la nuit). Perdu dans ses pensées…